Vous n'êtes pas identifié(e).
Pages : 1
C'est un honneur d'apparaître sur ton topic
Ca coule de source d'où j'ai tiré mon épreuve.
Finlande => Glace
Je regardais un épisode de Hunter x Hunter, celui où ils doivent faire griller des cochons. Du coup, chasse aux cochons + glace = Cochon qui sortent de la glace par le cul.
CQFD , non je ne suis pas tordu.
Bonne lecture à tous, l'épisode deux sort enfin, j'espère qu'il vous plaira !
L’épreuve de Sucrette
Nous retrouvons nos cinq dinosaures préférés, enfin pas tout à fait. En effet, dans l’épisode précédent, ils se sont vus obligés de se séparés afin que chacun puisse passer une épreuve. Sucrette prit le chemin blanc, plus il avançait et plus l’air se rafraichissait. « J’avais pas signé pour ça moi putain, j’étais juste venu pour faire chier l’autre. On se les gèle ici, je suis finlandais donc direct on m’envoie dans les endroits froids… »
Alors qu’il avançait tranquillement, un grand bâtiment blanc se dressa devant lui. Il toqua à la grande porte de glace devant lui. « Qui est là ? » lui demanda une voix inconnue.
- C’est John.
- « John comment ? »
- John Duff
Suite à cet humour de mauvais goût, Sucrette fut pétrifié et mourut instantanément. Ce qui pose un problème dans la narration du coup…
« Petite vengeance personnelle, j’ai été la victime du premier épisode, je te devais bien ça.
Avec tout mon amour,
Bassbat. »
Il semblerait que le ghanéen ait remplacé les pages de l’histoire, nous improviserons donc la suite.
Sucrette finit par rentrer, un vieux barbu l’attendait à l’intérieur.
Le vieux: « Tu es doué pour les jeux de mots douteux, mais sauras-tu réussir l’épreuve qui t’attend ? Les plus grands y ont laissé leur vie. Le concept est pourtant simple, je veux que tu m’apportes une glace citron/fruit de la passion. »
Sucrette: «Je veux bien, mais les ingrédients semblent me manquer mon ptit père. »
Le vieux: «Là est l’astuce, vois-tu ce bois de conifères ? Des cochons polaires y vivent. Les humains les ont autrefois exploités fort longtemps, mais aujourd’hui on n’en retrouve plus qu’ici. Ils ont une faculté bien spéciale : quand tu leur tire la queue, ils secrètent de la glace au goût irrésistible. Mais chaque cochon secrète un parfum différent, et ils sont devenus assez méfiants et agressifs envers les hommes. Sauras-tu trouver les bons cochons et me ramener mon cornet de glace ? »
Sucrette: «Je ne sais pas pourquoi cette épreuve me tente moyennement… mais quand faut y aller… »
Sucrette partit à la chasse aux cochons polaires, armé de son courage et ses cornets vides. Chacun de ses pas étaient pénibles, il faut dire que sortir de la glace de culs de cochons ne l’excitait guère. Il repéra un troupeau de cochon au loin et s’empressa de les rejoindre. Mais la surprise fut bien désagréable quand l’odeur nauséabonde de la porcherie monta dans ses narines.
- Mais putain, c’est des cochons normaux ça !
Il vit au loin le vieux glousser, se foutant ouvertement de sa gueule. Le piège tendu par ce fou était des plus vils, mais Sucrette ne tenta pas le diable et rebroussa chemin. Il prit la direction d’un petit bosquet, à dans le coin supérieur gauche du grand bâtiment. Il y trouva un autre troupeau de cochons, mais cette fois aussi blancs que les fesses de Guenièvre. Il sut à cet instant qu’il avait bien d’être prudent avec les cochons roses. Mais si l’odeur n’était plus un problème, c’est avec l’agressivité des cochons polaires qu’il devait maintenant faire face. Le troupeau se met à courir vers lui, il dût prendre bien vite ses jambes à son cou. Mais ce n’est pas en fuyant qu’il arriverait à extraire la glace du cul des cochons.
Une fois qu’il eut semé les cochons, il dût mettre en place une stratégie.Il retourna sournoisement auprès du vieux fou, qui s’était endormi en essayant de bronzer. Sucrette sorti alors un poignard de sa poche et… lui coupa sa longue barbe. Il lui fit un rasage intégral. Il se répartit ensuite les poils de la longue barbe blanche partout sur son corps, et retourna près des cochons. Il s’intégra au troupeau calmement, avec son nouveau pelage. Il tira la queue d’un premier cochon. « Pistache » s’exclama-t-il. Pas de quoi intéresser le vieux, il dût se résoudre à manger cette boule. Une fois qu’il avait fait obstruction de la provenance de ce met, il pu déguster cette glace au goût unique, il n’avait jamais rien mangé d’aussi bon. Il trouva vite les parfums citrons et passions, mais passa malgré tout un mois complet à vivre parmi les cochons… Il se sentit tellement bien intégré qu’il essaya de communiquer avec eux :
- Meuh
L’erreur fut fatale, tout le monde sait que les cochons polaires ne font pas « Meuh », mais « Bêêêêh ». L’histoire d’il y a un mois se répéta, les porcs se mirent à le courser. Après un mois de gloutonnerie, Sucrette dut rouler aussi vite que possible pour les semer. Heureusement pour lui, il eut le temps de remplir les cornets des parfums désirés par le vieux.
Sucrette : « Tenez, j’ai réussi l’épreuve. »
Le fou le fixa pendant un long moment avant d’éclater de rire. Suite à cet éclat de rire, Sucrette rigola. Les cochons passant par-là étaient intrigués, ils vinrent donc et rigolèrent à leur tour. Les cochons polaires arrivèrent et rirent aux larmes. On rigole bien.
Le vieux : « Tu es bien conscient que cette fin n’a aucun sens ? »
Là-dessus, le narrateur réfléchit deux secondes et se dit que de toute manière, rien n’avait de sens dans l’histoire.
Le fou ouvrit un passage à Sucrette.
Le vieux : « Vas, continue ta route, tu as réussi la terrible épreuve polaire. Un jour tu règneras sur le nord et formera le quatuor du nord ! »
Sucrette : « Merci, je n’oublierai jamais tes sages paroles, je continuerais ma route et trouverais le trésor ! ».
Après un mois passé dans ce bâtiment, Sucrette en sortir enfin et put continuer sa route, et peut-être rejoindre ses compagnons si ces derniers ont survécu...
Pages : 1